C’est une histoire tout bonnement rocambolesque et symbolique du monde de la télévision que nous avons récemment eut accès, celle duparcours pour le moment chaotique d’un concpet télévisé qui, après un certain nombre d’imbroglios éditoriaux, deviendra l’émission « Un soir à la tour Eiffel » présentée par Alessandra Sublet et actuellement diffusée sur France 2.
C’est bien connu, quand on y est, on y reste. Et ce n’est pas à cette maxime célèbre empruntée à un français boitillant qui eût causée nombre d’infarctus à Molière que les marathoniens du PAF se refuseront ce soir encore à l’occasion de ce 31 décembre, soir de fête dans le tube à images. Arthur Sébastien (ou l’inverse) seront bien de la fête sur les deux principales chaînes et c’est en coulisses de ces deux shows que les plus périlleux défis se sont révélés apparaître. Récit.
Diable de monde des médias, vilipendé, conspué, rabroué de toutes parts par celles et ceux qui ne lui trouvent que platitude, manque d’innovation, d’ambition, de courage même (notons tout de même que TF1 fait preuve d’exception notable avec la présence à son antenne depuis le 16 août 1991 de Claire Chazal – journaliste par intermittence – à la tête d’un journal d’information – par intermittence lui aussi -). Bref, dans cet univers sinistré une lueur vacillante persiste et pas n’importe laquelle, puisqu’il s’agit de notre cher Service Public. Oui oui, France Télévisions himself dans le texte, mais pas tout France Télévisions quand même, faut pas déconner, on reste dans un modèle gaulois-cervoise-sanglier. Explications.